Józef Czechowiczdzień jak co dzieńla mort[1]tłum. M. S.
przekłady na język świata
tłumaczyła M. S.
1
c'est ecrit la gare des marchandises
c'est ecrit le depot
l'ascenseur et le monte-charge penchent leurs tetes pesantes
quoi qu'il arrive
5
le wagon la prison rouge des vaches
a bouche des petits fenetres avec des museaux de veaux
un beuglement plein des regrets un beuglement et de nouveau
des machines moulent le silence
les sacs sur la rampe sentent le fourrage
10pour un moment c'est la campagne oh quel est son attrait
mais il n'y a pas de bruissement humide des herbes aux paturons
des blancs lampadaires eteignent la douce nuit
oh les roues qui les huit
vous savez bien ou est l'abattoir
15a eux aux freins aux chaines aux essieux
le chemin non plus n'est interminable
pourquoi des planches salurees de fraisse
ont cesse d'etre des pins fleuris
c'est pour cela et la maison en brique
20la gare des marchandises avec la grue en fer
ne s'apitoiera pas sur la nuit et les vaches
les vaches sont pour qu'on les tue.